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13 mars 2020 5 13 /03 /mars /2020 22:17
A propos de Mort sur le Nil

L'ambiguïté du titre français, Mort sur le Nil, est la première question que pose ce célèbre roman policier d'Agatha Christie, dénouée par le titre anglais, Death on the Nile (1) : il s’agit de la mort et non d’un mort sur le Nil. Car il y a plusieurs morts dans ce roman qui aurait pu être intitulé Deux mariages et cinq enterrements.

Le roman ne commence pas par un crime ou  par un cadavre dont il va falloir dénouer l'histoire et trouver le responsable. Le crime ne survient qu'après le premier tiers du roman et constitue la première énigme que pour le lecteur : qui va mourir dans cet échantillon de la bonne société, essentiellement, britannique, où tout le monde se connaît ou presque, en croisière touristique sur le Nil ?

Question peut-être inopportune car Agatha Christie s’étend largement sur la description d’une personne, la seule personnalité exceptionnelle qui attire tous les regards, admiration, jalousie, rancune qui la désignent au lecteur comme la probable victime.
E
lle est la première dans l’ordre d’apparition des dix-huit personnages présentés dont cinq ne seront pas de la croisière et ne peuvent être ni la victime, ni le coupable et Hercule Poirot, le célèbre détective. Cela réduit, pour le lecteur, le nombre de suspects à douze. Il est difficile de penser que les rôles principaux, victime ou coupable, puissent ne pas apparaître dans cette première liste et se trouver parmi les six croisiéristes découverts par la suite. Le lecteur est en droit de penser qu’ils ne sont que des personnages secondaires par leur rang ou leur nationalité dont un policier, confident et auxiliaire d’Hercule Poirot, une victime collatérale comme on dit aujourd’hui, un archéologue italien, un aristocrate original et incognitocomparses éventuels ? Leurres pour le lecteur ? En oubliant, bien sûr, le personnel qui se résume à quelques stewards anonymes et un Nubien...

Cette personne est exceptionnelle par sa beauté, son élégance, sa richesse, son intelligence mais aussi par son inconsciente suffisance pleine de bonne volonté. En un mot, la perfection d'une jeune femme de son rang en fait la victime annoncée. D’autant que de nombreux compagnons de croisière souffrent de cette altière supériorité et ont quelques motifs plus ou moins légitimes de lui en vouloir, possibles mobiles d’un passage à l’acte.

Le crime commis, la victime connue, reste à trouver parmi les mobiles suggérés par l’auteur lequel a poussé à commettre l’acte meurtrier.
La seule présentation des personnages, dans leur milieu au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis ou en croisière, fournit à Hercule Poirot et au lecteur, de nombreux indices qui orientent vers la victime d’abord, les coupables ensuite. Indices dont la collecte commence donc avant le crime, avant l’enquête.

Au total, une dizaine de britanniques semblent être les seuls passagers de la croisière, pouvant prétendre à la culpabilité. Quelques autres personnes participent à la croisière mais sont indignes de tout soupçon, par leur condition ou leur nationalité : une infirmière française, un archéologue italien, un lord original incognito et tout le personnel qui se résume à quelques stewards anonymes et un Nubien..

C’est seulement parmi les personnes de cette haute société impériale, dignes d’attention, que se trouve le ou les coupables. Car chacun, au dessus de tout soupçon, est dans une situation, plus ou moins douteuse, susceptible de l’entraîner à des actes gravissimes : un prétendant délaissé, un noble ami humilié, ils ne font pas partie de la croisière. Restent une amie dont le fiancé a été détourné, un membre d’une vieille famille ruinée par des manœuvres financières du père de la victime, des gestionnaires douteux de sa fortune, un voleur de bijoux surpris dans son activité, un amoureux indélicat contrarié par une intervention intempestive, une kleptomane ou une alcoolique, malencontreusement démasquées... Ces différentes raisons d’importance inégale touchent des personne plus ou moins aptes à commettre un acte d’une telle gravité

Le premier mobile, de toute évidence, dans le classique trio amoureux, est la fiancée délaissée qui en fait la première suspecte. Elle n’hésite d’ailleurs pas à provoquer, à montrer son revolver, à crier son amour-haine...
Mais cette évidence est trop simple

Heureusement, Hercule Poirot est à bord. Grâce au hasard, à sa mémoire exceptionnelle, un repas à Londres quelques mois auparavant, à un excellent don d’observation, à une grande finesse psychologique, à sa perspicacité, à ses intuitions, à sa réputation qui en fait le confident des uns et des autres, le célèbre détective va dénouer le problème. Avec cependant deux meurtres supplémentaires qui font progresser l’action. Et deux autres morts violentes à l’arrivée de la croisière qui la concluent. Le titre du roman aurait pu être Deux mariages et cinq enterrements. Car il n’y a pas lors de cette croisière que des meurtres.

Hercule Poirot est assisté du colonel Race qui recherche mollement et trouve fortuitement, un tueur à la solde de rebelles d’Afrique du Sud. Il joue aussi un rôle de confident, de faire-valoir…

Deux policiers du même monde, hommes justes et généreux, qui se plaisent à faire œuvre de justice en respectant sinon la loi du moins l’ordre : ici, tous les délits sont tenus secrets, sauf les assassinats. Ils sauvent ainsi les apparences d’une société qui ne doit pas faillir, qui doit paraître. Et la croisière finit heureusement par deux unions. Quand Race reconnaît logiquement : De fait, ce mariage a été réglé par le Ciel et Hercule Poirot. Celui-ci réplique avec son humour et sa vanité légendaires : Non, cette histoire a été tout entière imaginée par moi. C'est à dire, plus justement, imaginée par Agatha Christie.
Quant aux morts collatérales en cours d’enquête, Dieu ou Diable n'ont pas eu besoin d'aide.

 

Le nœud, le leurre du drame est dans le classique trio passionnel. Et Agatha Christie s’ingénie à faire progresser l’enquête en éliminant les différentes hypothèses qu’elle a suggérées au lecteur, notamment à travers les confidences d’Hercule Poirot à Race.
Dans un rapport d’étape approuvé par Hercule Poirot, Race dresse la liste de ce
ux qui ont des mobiles plausibles contre lesquels nous possédons des témoignages certains (six personnes), et ceux qui, à notre connaissance, sont libres de tout soupçon (huit personnes). Curieusement, il ne cite ni dans un groupe, ni dans l’autre, ni dans un troisième, deux membres du classique trio. Façon de les faire oublier du lecteur...

Les unes sont soupçonnées à cause de motivations qui paraissent un peu légères, découvertes de l’alcoolisme caché d’une vieille femme, kleptomanie d’une autre que son infirmière personnelle surveille... Dautres sont plus ou moins suspects à la suite de déclarations mensongères en contradiction avec d’autres témoignages, visant à cacher des choses plus graves… D’autres enfin paraissent difficilement coupables car n’ayant jamais échappé au regard des uns ou des autres surtout après un tir apparemment passionnel de la fiancée délaissée sur celui qui l’a abandonnée pour son ancienne meilleure amie. Ou une suspecte elle-même assassinée !
Il ne reste plus à Hercule Poirot qu’à faire étalage de son don d’observation
des faits comme des sentiments et de relier des indices qui conduisent à confondre les coupables.
Ce qui paraît alors évident au lecteur.

A propos de Mort sur le Nil

1 - Mort sur le Nil (Death on the Nile) de Agatha Christie, Librairie des Champs-Élysées, 1948, 254 p.

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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 16:49

En sortant de Tam...

Logement de Sud Sahariens, chameliers, serres et constructions comme partout en Algérie.Logement de Sud Sahariens, chameliers, serres et constructions comme partout en Algérie.
Logement de Sud Sahariens, chameliers, serres et constructions comme partout en Algérie.
Logement de Sud Sahariens, chameliers, serres et constructions comme partout en Algérie.Logement de Sud Sahariens, chameliers, serres et constructions comme partout en Algérie.

Logement de Sud Sahariens, chameliers, serres et constructions comme partout en Algérie.

Balade saharienne

Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem

Des fleurs dans le désert

Notamment des Cistanches
Notamment des Cistanches Notamment des Cistanches
Notamment des Cistanches Notamment des Cistanches
Notamment des Cistanches Notamment des Cistanches Notamment des Cistanches

Notamment des Cistanches

Tombeau de Tin Hinan

Et notre ange gardien.
Et notre ange gardien.Et notre ange gardien.
Et notre ange gardien.Et notre ange gardien.Et notre ange gardien.

Et notre ange gardien.

Erg Abalessa

Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.
Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.
Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.
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Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.
Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.

Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.

Quelques fresques rupestres

Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem

Assekrem

L'Ermitage

L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)
L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)
L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)
L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)

L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)

Le gite

Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem

Rencontre kabyle au Sommet à l'Assekrem

Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem

Vues de l'Assekrem

(attention, défilé automatique des images)

Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées

Images enchainées

Les dernières lumières de la ville

Vers l'aéroport
Vers l'aéroport
Vers l'aéroport

Vers l'aéroport

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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 16:48

Dans les trois semaines passées en Algérie fin février-début mars, quelques jours  à Tamanrasset. La précédente visite date de décembre 1965 !
A l'époque, 5 000 habitants. D'après le dernier recensement en 2008, 80 000 et, sur place aujourd'hui, le nombre est estimé à 150 000 ! C'est dire le changement !!

Pas du Hoggar, bien sûr, même si l'estimation de l'altitude de l'Assekrem n'est pas exactement la même !!!

Quelques images de la ville

Les couleurs de la ville...

Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville

Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville

Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville

Au hasard des rues

Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville

Sur la place

Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville

Maisons de l'artisanat et de la culture

Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville

Bordj de Charles de Foucauld à Tam

Bordj du Marabout, chambre, le trou par où, disait-on serait passé la balle meurtrière !
Bordj du Marabout, chambre, le trou par où, disait-on serait passé la balle meurtrière !
Bordj du Marabout, chambre, le trou par où, disait-on serait passé la balle meurtrière !
Bordj du Marabout, chambre, le trou par où, disait-on serait passé la balle meurtrière !
Bordj du Marabout, chambre, le trou par où, disait-on serait passé la balle meurtrière !

Bordj du Marabout, chambre, le trou par où, disait-on serait passé la balle meurtrière !

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22 avril 2019 1 22 /04 /avril /2019 19:04

Lors de ce court séjour en Algérie, trois jours à Constantine (1-4 mars) où nous avons travaillé en 1964-66...
Constantine, les gorges du Rhumel et ses ponts, ses vieux quartiers et ses constructions nouvelles (pour nous) : le Grand Pont, la mosquée Abd el Kader, l'université brésilienne...

 

Les gorges du Rhumel

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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Constantine sur Rhumel

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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... et ses ponts

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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Vues des ponts

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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La Place du 1er novembre

(Place de la Brèche)
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Vers le Palais du Bey

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Le Palais du Bey

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Aller au Coudiat

Rue Abane Ramdane et place Amirouche (de la Pyramide)
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Le Musée

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Fruits et légumes

(Marché Saint-Jean)
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Le Grand pont

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La Mosquée Abd El Kader

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A l'université "brésilienne"

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Constantine retrouvée

(Cité des fonctionnaires, Lycée El Houria, Direction départementale de la santé, Centre para-médical)
Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.
Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.
Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.

Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.

Environ de Constantine,

Khroubs avec le tombeau de Massinissa

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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Le Dr Masseboeuf était Directeur départemental de la Santé quand j'étais médecin épidémiologue départemental à Constantine (1964-66).
Une remarquable biographie (Jean Sadek Masseboeuf : itinéraire d'un médecin algérien : La Rochelle 1908-Constantine 1985, Volume 1, 1908-1962) a paru sous la signature de son neveu, Jean-Louis Masseboeuf, aux éditions Bouchène.

J'ai été élève et ensuite collaborateur du Pr Chaulet, chef du service de pneumologie, quand je travaillais au Dispensaire antituberculeux d'El Harrach (1966-72).
 

*************

 

Djemila, la belle romaine

Les ruines de Djemila, désormais entrée payante comme le Tombeau royal ou Tipaza, sont devenus des lieux de promenade pour les familles, les jeunes, les couples, sous une certaine surveillance... A Djemila, seul endroit pendant tout ce séjour de trois semaines où nous avons été contrôlés : passeport, visa, carte grise, permis de conduire....

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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L'entrée de Djemila

 

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13 avril 2019 6 13 /04 /avril /2019 10:20

Lors de ce périple de 3 semaines en Algérie, du 15 février au 7 mars, (a) sans lien avec les événements actuels, 4 jours ont été consacrés à l'Oranais, d'où ces quelques photos d'Oran, Tlemcen, Mostaganem, Arzew et leurs environs et Chlef lors du retour sur Alger. Plus de 40 ans après un séjour de 9 ans en Algérie : 9 mois à Mostaganem pour le service militaire (1963-64), 2 ans à Constantine (1964-66) et 6 ans à Alger (1966-72) comme coopérant.

Une première série de photographies d'Alger et ses environs a été publié sur ce blog. Viendront ensuite Constantine et Tamanrasset.

Des photos anciennes, de1964 à 1972 ( Des photos de 1964-72, peuvent être retrouvés sur ce blog  1 Alger, 2 Oranais, 3  Constantine et l'Est algérien, 4 Kabylie, 5 Sites romains, 6 Pétrole, 7 Sud algérien  (b ou NB en fin d'article). 

Oran, aujourd'hui

Quelques image de la ville moderne, avec vue sur le port dont une partie avait été détruite par l'OAS (voir photo 1964-72), Centre de Conventions, rues d'Oran... Immeubles en construction comme on en a vu partout, en construction, terminés et inoccupés, (en voie d'attribution ou non aménagés)...
Affiche et peinture au pochoir... sur l'élection présidentielle

 

Algérie, 40 ans plus tard (2), Oranais...
Algérie, 40 ans plus tard (2), Oranais...
Algérie, 40 ans plus tard (2), Oranais...
Algérie, 40 ans plus tard (2), Oranais...
Algérie, 40 ans plus tard (2), Oranais...
Algérie, 40 ans plus tard (2), Oranais...
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Algérie, 40 ans plus tard (2), Oranais...
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La Grande Poste d'Oran
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Oran, vieille ville

Visitée avec une jeune guide membre d'une association préoccupée par la sauvegarde du patrimoine : ancienne église Saint Louis, ancienne synagogue, ancienne mosquée... actuellement  ..., plaque commémorative de la présence espagnole, palais du Bey, vues sur Oran et Mers el Kebir depuis Santa Cruz...

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Tlemcen

La Mansourah, la Grande Mosquée, le Mechouar, la place, le Musée, le plateau de Lalla Sebti, vues sur Tlemcen...

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Environs de Mostaganem

Importantes fresques murales à l'entrée de la ville, comme partout constructions nouvelles, aménagements du bord de mer (Sablettes, Salamandre, non reconnues)..., Stidia (méridien de Greenwich).

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Arzew et envions
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Sur la route d'Alger en passant par le Chlef
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6 avril 2019 6 06 /04 /avril /2019 08:21

Invité en Algérie pour un voyage-souvenir de 3 semaines, fin février-début mars, voici quelques images et réflexions. Sans lien direct avec les événements actuels. Ce voyage a lieu, plus de 40 ans après un séjour de 9 ans en Algérie : 9 mois à Mostaganem pour le service militaire (1963-64), 2 ans à Constantine (1964-66) et 6 ans à Alger (1966-72) comme coopérant.

Revenir après une si longue absence, c'est, bien sûr, retrouver des lieux familiers enfouis dans la mémoire mais aussi découvrir un autre pays, par les énormes investissements que les revenus du pétrole ont permis, essentiellement dans l'enseignement (1,7 million d'étudiants), la construction de logements, l'infrastructure.
Choc dès l'arrivée : plongée dans l'inconnu, de l'aéroport à la ville, entrelacs de routes, et encore sans embouteillage à cette heure tardive, là où il n'y avait que la Moutonnière, parcourue, matin et soir, pendant 6 ans d'Alger à El Harrach... Et l'odeur de l'oued... aujourd'hui disparue.

C'est aussi un peuple qui est passé de 11 millions d'habitants au moment de l'Indépendance en 1962 à 15 millions en 1972 et 43 aujourd'hui : une population dont la moitié a moins de 30 ans, dont les deux tiers sont nés depuis 1972 !!!

Quelques photographies de 2019 sont regroupées en 4 articles : d'abord Alger et environs,  puis Oranais, Constantine et enfin Tamanrasset.
Des photos prises de1964 à 1972, peuvent être retrouvées sur ce blog (1).

Alger et environs

Alger-centre : la Grande Poste que tout le monde a vu à la télévision ces derniers jours à l'occasion des manifestations, le début de la rue  Didouche Mourad, bloquée par la police, des jeunes avec la banderole de soutien du MCA, club de foot, (les stades ont été les premiers lieux utilisés par la jeunesse pour attaquer le système), la gare, le port, le début de la rue Larbi Ben Mihdi qui est devenu une place fleurie, la rue Larbi Ben Mihdi, la place de l'émir Abd el Kader, la Cinémathèque, le square Port Saïd.
En haut de la rue Didouche Mourad, l'église du Sacré-cœur, cathédrale, et, pour terminer, quelques fresques en haut de l'avenue Mohamed V où nous habitions.

La square Port Saïd est un grand jardin devant le théâtre d'Alger, avec les bustes  accompagnés d'un texte en arabe, rendant hommage à des artistes : Oum Kalthoum, Mohamed Boudia, Abdelkader Alloula (assassiné par le FIS en 1994), Azzedine Medjoubi (assassiné en 1995)... pendant la décennie noire.
Le square Port-Saïd est, aussi, une bourse informelle où peuvent s'échanger au noir, achat et vente, dinars et devises étrangères, au vu et au su de tout le monde .

L'Algérie, 40 ans ans plus tard, Alger et Tipasa (1)/..
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Par le chemin des Crêtes, vue sur Alger et sur le Jardin d'Essai, toujours aussi fréquenté, en couple ou en famille et par les enfants des écoles. De là, on aperçoit l'imposant Monument du Moudjahid.

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Le Musée national du Moudjahid est situé à proximité de la cité de Diar El Mahçoul, construite en 1954 par le maire libéral d'Alger et l'architecte et urbaniste Fernand Pouillon. Aujourd'hui, la cité est hérissée d'un véritable champ de champignons-antennes paraboliques...

D'après un ami algérien, en Algérie, il y a trois choses qui marchent, les fast-food (le seul pays où il y a un fast-food entre deux fast-food, dit-il, non vérifié sur place), les voitures (avec d'énormes embouteillages en ville et de nombreux accidents de circulation), les antennes paraboliques... la photo en témoigne.

L'Algérie, 40 ans ans plus tard, Alger et Tipasa (1)/..
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El Harrach, pour retrouver le dispensaire antituberculeux fréquenté pendant 6 ans : la salle d'attente est devenue un bureau de l'administration pour deux fonctionnaires très accueillants. L'activité du dispensaire a été transférée à Beaulieu.
Sur la place d'El Harrach, nous sommes allés dans un restaurant. Habituellement, nous allons dans la partie réservée aux familles car nous sommes trois, une femme et deux hommes. Là, surprise, il y avait une dizaine de clientes, pas un homme.

Un saut rapide à Bordj El Kiffan que nous n'avons pas reconnu...

L'Algérie, 40 ans ans plus tard, Alger et Tipasa (1)/..
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Alger-ouest : vue de N-D d'Afrique, le bas de la Casbah qui se détériore mais pour laquelle existent des projets de rénovation, Sidi Aberrahmane At-Thaâlibi, saint patron d'Alger, Ketchaoua, mosquée d'origine turque, transformée en église en 1832 et cathédrale, redevenue mosquée en 1962, rénovée par le gouvernement turc..., place des Martyrs, stèle en hommage aux porteurs de valise (2002), visite à Sidi Fredj (architecte Fernand Pouillon), peintures murales et sur les rochers, affiche en tifinagh.

Depuis 2016, l'arabe et le tamazight (berbère) sont langues officielles en Algérie. On peut donc voir, rarement, des affiches officielles en tifinagh, comme celle-ci, ou des intitulés en tifinagh sur certains établissements officiels à côté de l'inscription en arabe et aussi en français.

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Tipaza et le Tombeau royal (autrefois Tombeau de la chrétienne qui serait le tombeau de Cléopâtre, épouse de Juba II)....

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Remerciements à  Ahmed M. et Rachid H. pour leur accueil et a Anne C. pour son aide dans l'organisation des photos.

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14 mars 2019 4 14 /03 /mars /2019 22:01
Algérie : le Clan face à la vague

Le président Bouteflika n’existe pas ! Il n’est qu’un point d’équilibre, image encadrée nécessaire au maintien en place d’un clan familial, militaire, financier, vieillissant qui veille à assurer la continuité dans la défense de ses intérêts. Un groupe sans imagination réelle pour trouver le meilleur moyen pour que rien ne change. Un portrait, inanimé, sans voix depuis un accident ischémique transitoire sans séquelles de 2013, à la veille d’un quatrième mandat. Il a été hospitalisé le 24 février à Genève pour des examens médicaux périodiques.
Il est confronté, depuis le 22 février, à une contestation sans précédent depuis sa première élection en 1999, contre une éventuelle candidature à un cinquième mandat.
Sa candidature est cependant déposée, le 3 mars 2019, au Conseil constitutionnel, par son nouveau directeur de campagne, le précédent ayant été démis à la suite de propos malencontreux, reproduits dans la presse. A quelques heures de l'heure limite du dépôt des candidatures, montrant les incertitudes et l’absence de solution de rechange du Clan pour se maintenir en place !

Cette candidature n'a pas mis fin aux manifestations de rejet qui se sont poursuivies dans les rues d'Alger et d’autres villes d'Algérie.
D’où un premier bricolage : une lettre adressée à la nation, lue à la télévision. Le président Abdelaziz Bouteflika y explique avoir écouté et entendu le cri du cœur des manifestants, et leur inquiétude compréhensible. Malgré cela, il confirme sa candidature et s’engage, une fois élu le 18 avril, à ne pas aller au bout de son mandat et à se retirer à l’issue d’une présidentielle anticipée, à laquelle il ne serait pas candidat. Il promet également l’élaboration et l’adoption par référendum populaire d’une nouvelle Constitution. Il annonce que la jeunesse algérienne sera au cœur de ses priorités présidentielles, une révision de la loi électorale et une transmission générationnelle dans une Algérie réconciliée avec elle-même.


 

Algérie : le Clan face à la vague
Algérie : le Clan face à la vague
Algérie : le Clan face à la vague
Algérie : le Clan face à la vague

Encore un moment, Monsieur le Bourreau.

Par ailleurs, une requête a été déposée devant un tribunal suisse pour demander son placement sous curatelle ! La santé fragile de Bouteflika l'exposerait à être manipulé par son entourage. Il serait incapable de discernement... et tous ses actes, aussi bien le dépôt de sa candidature que les communiqués, ne seraient pas effectués par lui-même mais par son entourage politique et familial.

Candidat, Bouteflika courait plusieurs risques : que cette candidature soit refusée par le Conseil constitutionnel, que le candidat soit mis sous curatelle avant la date de l’élection et même, tous obstacles franchis, qu’il ne soit pas élu !

Un nouveau bricolage a donc été mis au point : report des élections et prolongation du mandat ! Maintien au pouvoir du Clan sans élection !! Encore un moment... Mais est-ce possible aux yeux d’un Conseil constitutionnel même très dévoué ? Tandis que la rue continue à gronder joyeusement devant ces reculs successifs qui montrent bien le désarroi du Clan ?

Ces pitoyables manœuvres de retardement ont quelque chose de pathétique et de dangereux qui témoigne d’une incompétence du Clan à gouverner au niveau national et même à organiser une sortie pourtant largement, biologiquement, prévisible.

Et politiquement. Quel contraste entre la vieillesse du Clan et la jeunesse du peuple algérien, entre la décrépitude de son icône figée et la vitalité démographique d’un pays et de la jeunesse joyeuse des manifestants du vendredi dans les rues d’Algérie, entre l’isolement du Clan et la multitude qui s’affiche, entre l’absence de projet politique et le bouillonnement de la rue !


 

Algérie : le Clan face à la vague
Algérie : le Clan face à la vague
Algérie : le Clan face à la vague

Tout a bien commencé mais tout reste à faire.

La mobilisation a été efficace à travers les réseaux sociaux. Venue, semble-t-il de nulle part. Ici aussi, en dehors des organisations sociales et politiques. Malgré un silence important des journaux télévisés. Tandis qu’une partie de la presse, El Wantan, Liberté, Le quotidien d’Oran, faisait largement son travail. Ainsi El Watan a consacré 7 ou 8 pages sur 24 aux événements d’Alger et des diverses villes du pays. Plusieurs jours de suite.

Désormais, le roi est nu, échec et mat. Mais les manifestants ne s’y trompent pas. Ils continuent de manifester. Il n’est plus question de Cinquième mandat. Mais de changer le système.


Les revenus pétroliers ont été utilisés pour apaiser les revendications sociales et neutraliser les revendications démocratiques. Énormes investissements dans les infrastructures. Dans le logement pour satisfaire la population, locataires, propriétaires, subventionnés : parcourir l’Algérie permet de voir les énormes chantiers de logements, en construction ou terminés mais vides, en attente d’attribution ou déjà habités… mais toujours insuffisants en nombre à cause de la démographie galopante… Énormes investissements et donc énormes commissions.

Investissements aussi dans l’enseignement qui forme des diplômés sans débouchés qui regardent à l’extérieur et descendent dans la rue… Tout le monde a noté l’importance de la jeunesse étudiante, et des jeunes femmes, dans les manifestations. Importance qui avait déjà été remarquée lors du printemps tunisien.

 

Algérie : le Clan face à la vague
Algérie : le Clan face à la vague
Algérie : le Clan face à la vague

Le peuple algérien a payé cher son indépendance (750 000 morts). Puis la décennie noire (200 000 morts). Le président qui voulait une Algérie démocratique, moderne, débarrassée de la corruption est resté en place six mois.

Une partie importante de ce peuple est aujourd’hui, pacifiquement, dans la rue. Tout le monde retient son souffle. Trouvera-t-elle une équipe efficace pour prendre le relais au niveau gouvernemental ? Pour fédérer tous ceux qui veulent un changement réel du pays ? Pour faire de l’argent du pétrole, non comme trop souvent, une malédiction mais le moyen d’entamer une politique nouvelle au profit du plus grand nombre ?

 

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13 février 2011 7 13 /02 /février /2011 20:52

Tubes Champ NB-5

Horizon de tubes

 

Tubes Allée NB-2

Allée des tubes

 

Tubes Champ NB-1

Champ de tubes

 

Tubes IIndustrie1NB-6

Industrie industrialisante

TubesIndustrie2 NB

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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 09:59


 

 

MzabVueGéné2

 

MzabVueGéné3

 

 

 

 

 

 

 

GhardaïaAutour2

 

GhadraïaAutour

 

 

Ghardaïa0003

 

Ghardaïa Arcades

 

GhardaïaMarché

 

GhardaïaRueMosquée

 

Ghardaïa Mosquée

 

GhardaïaVue Géné

 

MzabOasis

 

GhardaïaCimetière Bérriane

 

BerrianeMarabout

 

Berriane Marabouts

 

Beni Isguen Vue Géné1

 

 

Beni Isguen Vue Géné2

 

 

 

Béni Isguen Rue

 

BerrianeCimetière

 

Beni Isguen la nuit

 

 

TamalhatMosquée

 

Temacine0

 

Temacine1

 

 

Temacine2

TemacineRue

 

 

TemacineCoupole

 

 

TemacinePuits

 

 

El OuedVueGéné

 

 

 

El Oued Hôtel

 

El Oued La Prière

 

 

El OuedMarché

 

 

ElOuedMarché2

 

 

El OuedChameaux

 

 

El OuedCoucher

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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 09:12

  Camions-Tuyaux.JPG

 

 

HassiMessaoud2

HassiMessaoud1

 

HassiMessaoud3

 

 

HassiMessaoud10

 

HassiMessaoud11

 

HassiMessaoud12

 

HassiMessaoud13

 

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HassiMessaoud16

 

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HassiMessaoud4

 

 

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HassiMessaoud6

 

 

HassiMessaoud7

 

HassiMessaoud8

 

 

HassiMessaoud9

 

Maison verte

 

 

Torchères2

 

 

Torchères1

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