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23 juillet 2023 7 23 /07 /juillet /2023 06:37
Echappée dans l'Est de la France

Un saut de quatre jours dans l'Est pour visiter le Musée de la Négritude et des Droits de l'Homme à Champagney en Haute-Saône, ce que nous n'avions pu faire l'année dernière, tous les hôtels de la région affichant complet,  à cause du passage du Tour de France féminin.

Sur les 60 000 Cahiers de doléances rédigés en 1789, une petite centaine, quelle qu'en soit la raison, mentionne l'esclavage des Noirs. Celui de Champagney, localité d'un millier d'habitants à l'époque, dans son voeu 29, demande sa suppression. C'est probablement sous l'influence de Jacques Antoine Priqueler, né à Champagney en 1753, garde du corps du Roi à la Cour, proche de la Société des amis des Noirs.

Le musée créé à l'initiative de  René Simonin en 1971 retrace essentiellement l'histoire de l'esclavage, des luttes pour son abolition et sa continuation dans la lutte pour les Droits de l'Homme. Tous les vendredis, une visite est organisée  conduite, lors de notre passage, par un doctorant remarquable.

Le Musée de la Négritude et des droits de l'Homme a reçu jusqu'à 6000 visiteurs par an, avant la Covid, venus d'un peu partout, et beaucoup de scolaires

Echappée dans l'Est de la France

Petit saut d'une journée à Mulhouse.

Hôtel de ville Place de la Réunion (Rathausplatz Rothûssplatz)

Hôtel de ville Place de la Réunion (Rathausplatz Rothûssplatz)

Monument aux morts
Monument aux morts

Monument aux morts

Echappée dans l'Est de la France

Belfort, la Vieile ville, est réquisitionnée pour le départ de l'avant-dernière étape du Tour de France. Petite visite au Lion et...

Echappée dans l'Est de la France
Echappée dans l'Est de la France

... nous fuyons mais le Tour est attendu partout dans le Ballon.

Jeanne d'Arc et L'home projeté, Monument aux démineursJeanne d'Arc et L'home projeté, Monument aux démineurs
Jeanne d'Arc et L'home projeté, Monument aux démineurs
Jeanne d'Arc et L'home projeté, Monument aux démineursJeanne d'Arc et L'home projeté, Monument aux démineurs

Jeanne d'Arc et L'home projeté, Monument aux démineurs

Le monument le plus beau dans les environs est la chapelle Notre-Dame du Haut, œuvre lumineuse de l'architecture sacrée du XXe siècle, en pierre et en béton de Le Corbusier  au sommet de la colline qui qui surplombe Ronchamp.

Echappée dans l'Est de la France
Echappée dans l'Est de la France
Echappée dans l'Est de la France
Echappée dans l'Est de la France
Echappée dans l'Est de la France
Echappée dans l'Est de la France
Echappée dans l'Est de la France
Echappée dans l'Est de la France
Echappée dans l'Est de la France
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17 juin 2019 1 17 /06 /juin /2019 08:25
Impressions algériennes

Impressions algériennes, très subjectives, sans aucune ambition notamment politique dans ce moment important pour l’Algérie, à la suite d’un voyage éclair de 3 semaines en Algérie (fin février-début mars), après y avoir vécu de juin 1963 à juin 1972 et fait une brève visite quelques années plus tard...
Visite amicale et touristique : quelques jours à Tamanrasset, Alger et Tipaza, Arzew-Oran avec escapades à Mostaganem et Tlemcen enfin Constantine en passant par Djemila.


Retrouvaille nostalgique des lieux. Les personnes connues à cette époque ont disparu ou ont été perdues de vue en dehors des deux amis de cinquante ans, depuis 1964-65, qui nous ont accueillis dans leur famille. Visite de redécouverte très partielle d’une Algérie nouvelle, inconnue, au moment où une nouvelle histoire semble commencer.

 

Revenir en Algérie, après une si longue séparation, est étrange. C’est revoir un ami qu’on a perdu de vue, qu’on retrouve, le même et différent, familier ici, changé là, inconnu ailleurs.

Un pays dont on connaissait bien de nom, avant d’y venir, les lieux et les personnalités, devenus familiers à cause de la longue guerre qui avait correspondu aux années étudiantes. Et l’Indépendance venue, on en découvrait la réalité physique, en parcourant le pays dans tous les sens, et un peu la vie dans le travail quotidien, en accord avec ses propres choix professionnels.
Un pays qui se construisait, nouveau. Un pays dont on suivait les moindres réalisations avec le même espoir de réussite que les nationaux.

 

Un pays qu’on connaissait ou croyait connaître. Un pays dont on sentait la complexité avec, à la fois une proximité de langue, de langage, qui permettait le dialogue, le partage mais dont une part importante nous échappait. Parce que nous n’étions pas Algériens. Parce que nous ne parlions pas l’arabe, malgré de faibles tentatives peu encouragées par l’entourage algérien, et, encore moins, le berbère-tamazight, (kabyle, chaoui…).

Impressions algériennes
Impressions algériennes

Mais le pays a beaucoup changé. Dès l’arrivée, de nuit, en voiture de l’aéroport de Dar El Beida à Ben Aknoun, on espère la Route moutonnière, parcourue deux fois par jour pendant 6 ans, et on passe par l’entrée de Los Angeles ou de tout autre métropole. La Route moutonnière est tapie quelque part, sur la droite, dans l’obscurité et la mémoire.
Le lendemain, avec la lumière, on retrouve la familiarité du centre, la Grande poste, les rues Larbi Ben M’hidi, Didouche Mourad, le boulevard Mohamed V, la place de l’Émir, l’appartement, la cinémathèque et on s’amuse à voir ce qui n’a pas bougé et ce qui a changé…

Il en sera de même à Constantine, avec la place de la Brèche modifiée (place du 1er novembre), la Direction Départementale de la Santé, le Centre paramédical, le Lycée El Hourrya, le Monument au morts, le Rhumel et ses ponts et son nouveau grand pont, les arcades de la rue Abane Ramdane, la place Amirouche (de la pyramide)...

Impressions algériennes
Impressions algériennes

Au retour de ce périple, quelques personnes nous posent les mêmes questions sur le voyage qu’elles ou d’autres nous posaient dans les années soixante… Et la sécurité ? Vous étiez en sécurité ? Comment étaient les gens avec vous dans la rue ?

Curieusement, la réponse est la même, aujourd’hui et alors : impression de sécurité absolue même si, à Tamanrasset, des gendarmes nous accompagnaient pour assurer notre sécurité, en tant qu’étrangers, dans les excursions en dehors de la ville. Et l’extrême gentillesse des gens.
 

A l’époque, la guerre était finie, et pour eux et pour nous, presque oubliée. Non effacée. Nous étions là parce que cette guerre avait eu lieu et nous avait marqués. Mais nous étions des Français qui venaient travailler à l’Algérie nouvelle.
Aujourd’hui, cette époque est pratiquement oubliée. La grande majorité de la population algérienne est née après notre départ. Le passage des coopérants dans les années après l’Indépendance n’est pas connu de ceux que nous croisons dans la rue. Nous sommes probablement pour eux des pieds-noirs nostalgiques en visite. Et la gentillesse est la même.
La guerre d’Algérie est finie, bien finie. Enfin presque.

 

Car la France demeure l’ancienne puissance coloniale, la présente puissance néocoloniale. Et comme à l’époque, demeure aussi le refus de l’immixtion étrangère (entendre de la France). Hier proclamé par le gouvernement et, aujourd’hui commune au système en place et à ceux qui veulent le faire tomber. Immixtion, pour les uns, manipulation des opposants, pour les autres, soutien de Bouteflika et du régime.

Dans l’air, un petit quelque chose a changé. Hier, une certaine connaissance-complicité réciproque supposée avec tout le monde. Avec les amis algériens, une langue commune, le même langage, nous partagions les même plaisanteries, le nationalisme et la fraternité allaient de pair, parce que nous avions un passé politique commun même si c’était à des niveaux très différents. Et un espoir commun.

Aujourd’hui, notre histoire n’est plus commune. Nous nous sommes doucement éloignés. Le nationalisme a été distillé par cinquante années de discours, d’enseignement… Sans partage. Sans contact humain, relativisant. Et notre attention à l’Algérie n’a pas été aussi intense que pendant la guerre...

Quand un homme d’une cinquantaine d’années, parlant parfaitement le français, nous dit, au cours d’un conversation sur la scolarisation et l’enseignement, qu’en Algérie, il y a deux langues, l’arabe et l’anglais, il dit deux choses claires : il affirme une identité, il est arabe (en réalité d’origine chaouia) et musulman (il nous demande peu après ce que nous pensons de l’islam), rejette le tamazight pourtant officiellement reconnu, - langue de la division ? - et la langue française, langue du colonialisme, encore enseignée et utilisée largement, au profit de la langue anglaise...

Impressions algériennesImpressions algériennes
Impressions algériennes

Le voile-foulard est en question en France. Ici, ce qui frappe quand on se promène dans les rues, c’est la disparition totale des voiles traditionnels qui permettaient de distinguer, au premier coup d’œil, les Algéroises, des Oranaises ou des Constantinoises, habillées suivant la tradition à côté de celles qui avaient adopté la mode occidentale. Aujourd’hui, les femmes habillées à l’occidentale, essentiellement en pantalon, cheveux au vent, sont nombreuses. Mais, dans toutes les villes parcourues, la tenue la plus fréquente est le foulard associé aux robes longues : les voiles traditionnels ont complètement disparu ! Nous avons vu en 3 semaines, une Constantinoise et une Oranaise. Et un seul voile intégral..., venu de la banlieue parisienne d’après de jeunes amis...

 

Ce phénomène, un peu anecdotique, parle de notre regard d’hier et d’aujourd’hui. Regard d’hier, attentif et bienveillant, à la fois à la tradition et à l’évolution occidentale, normale pour nous, regard surpris d’aujourd’hui devant une évolution autonome, inattendue.

 

Pendant notre séjour, ont débuté les manifestations du vendredi et du mardi pour les étudiants. Auxquelles nous n’avons, bien sûr, pas participé et que nous avons peu vues.

Les jeunes sont nombreux dans ces manifestations. Parce que la population algérienne est jeune. Mais aussi parce qu’un important effort a été fait au niveau de l’enseignement : plus de 1 655 000 d’étudiants - dont 60 % d’étudiantes - entraient à l’université en septembre 2017 tandis que 324 000 autres la quittaient avec un diplôme en main.

Ces jeunes, étudiantes et étudiants, manifestent avec d’autres aujourd’hui. Ils sont les enfants de pères et surtout de mères qui, toutes, ont été scolarisées et ce phénomène n’est peut-être pas étranger à leur importance présence dans les manifestations...

La scolarisation, notamment des jeunes filles, rappelle la situation tunisienne. C’est en Tunisie que le printemps arabe a commencé, c’est aussi en Tunisie qu’il est allé le plus loin…

 

L’entrée dans Alger, venant de l’aéroport, est le premier témoignage des investissements faits dans les infrastructures. L’autoroute qui traverse toute l’Algérie de la frontière tunisienne à la frontière marocaine en est un autre témoignage. Pour le moment gratuite de bout en bout mais sur laquelle sont en construction les futures stations de péage…

 

Mais ce qui frappe le plus, c’est, dans toutes les villes visitées ou traversées, en dehors des embouteillages urbains surtout à Alger, c’est le nombre de logements construits ou en construction… Il y avait, au moment de l’Indépendance, 10 millions d’Algériens, ils sont aujourd’hui 43 millions !
On voit partout des immeubles en construction ou apparemment terminés mais inhabités (logements non attribués…) ou réellement terminés et habités.
La ville de Constantine qui comptait 200 000 habitants en 1960, en compte plus de 460 000 aujourd’hui, sans compter les villes limitrophes et notamment la ville de 500 000 habitants, Ali Mendjeli, en construction !!!

 

 

Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes

Ces investissements dans les infrastructures, dans le logement, sont à l’origine d’un phénomène dont tout le monde parle de la rue jusqu’au plus hautes instances politiques et qui pèse lourd dans les événements actuels, la corruption. Et qui touche, à des degrés divers, beaucoup de monde dans bien d’autres secteurs de l’économie et du social : licences d’importations, attributions de logements, passe-droits…

Il est quelquefois question dans la presse de la présence de travailleurs chinois en Algérie et de migrants subsahariens qui la traversent vers l’Europe. Nous n’avons vu, pratiquement, ni les uns, ni les autres. Si la présence, importante de travailleurs chinois nous a été confirmée, nous avons vu seulement quelques jeunes filles asiatiques traversant la rue.
Par ailleurs, quelques mendiants dont on nous a assuré qu’ils étaient subsahariens… Deux employeurs qui ont embauché des travailleurs sans papiers, au vu et au su de tout le monde, sans problème. L’un d’eux, un Camerounais, nous a déclaré qu’il comptait faire dans quelques mois un voyage dans son pays et revenir...

Mais tout ceci n’est qu’anecdotes de touristes de passage (comme les jeunes qui proposent de vendre ou d’acheter toutes sortes de devises au square Port Saïd à Alger !).


La question aujourd’hui en Algérie est l’avenir du mouvement qui, depuis le 23 février, rassemble, pacifiquement à ce jour, dans les rues des grandes villes algériennes, et place de la République à Paris, des milliers de personnes pour dire son rejet du système : non seulement de Bouteflika qui a dû renoncer à son cinquième mandat, non seulement des ministres ou oligarques dont quelques uns sont aujourd’hui en prison, mais de tous ceux, notamment les militaires, qui, depuis l’Indépendance, ont occupé le pouvoir.

Période délicate de la transition avec la menace improbable d’une évolution de type soudanais… Des Soudanais étaient sur la place de la République ce dimanche...

Période difficile car, grâce à l’unité populaire, le reversement du système peut réussir mais cette unité persistera-t-elle pour la mise en place de nouvelles institutions ? Et surtout pour la mise en place d’une nouvelle politique économique qui dépasserait la simple utilisation des revenus pétroliers pour calmer les mécontentements...

Impressions algériennes
Ci-après, quelques images du rassemblement dominical d'Algériens sur la place de la République à Paris, le 16 juin 2019.
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes
Impressions algériennes

Remerciements à Rachid H. et Ahmed M.

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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 16:49

En sortant de Tam...

Logement de Sud Sahariens, chameliers, serres et constructions comme partout en Algérie.Logement de Sud Sahariens, chameliers, serres et constructions comme partout en Algérie.
Logement de Sud Sahariens, chameliers, serres et constructions comme partout en Algérie.
Logement de Sud Sahariens, chameliers, serres et constructions comme partout en Algérie.Logement de Sud Sahariens, chameliers, serres et constructions comme partout en Algérie.

Logement de Sud Sahariens, chameliers, serres et constructions comme partout en Algérie.

Balade saharienne

Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem

Des fleurs dans le désert

Notamment des Cistanches
Notamment des Cistanches Notamment des Cistanches
Notamment des Cistanches Notamment des Cistanches
Notamment des Cistanches Notamment des Cistanches Notamment des Cistanches

Notamment des Cistanches

Tombeau de Tin Hinan

Et notre ange gardien.
Et notre ange gardien.Et notre ange gardien.
Et notre ange gardien.Et notre ange gardien.Et notre ange gardien.

Et notre ange gardien.

Erg Abalessa

Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.
Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.
Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.
Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.
Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.
Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.

Lors de tous les déplacements en dehors de la ville, les étrangers sont accompagnés d'une ou deux voitures de gendarmerie.

Quelques fresques rupestres

Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem

Assekrem

L'Ermitage

L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)
L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)
L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)
L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)

L'Ermitage, la Table d'orientation, l'un des deux ermites, oeuvres de Charles de Foucauld, système de remplissage de la citerne réservoir d'eau et Porte de l'Oued (Bab el Oued)

Le gite

Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'AssekremAlgérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem

Rencontre kabyle au Sommet à l'Assekrem

Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem
Algérie, 50 ans plus tard (5) quelques images du Hoggar et de l'Assekrem

Vues de l'Assekrem

(attention, défilé automatique des images)

Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées
Images enchainées

Images enchainées

Les dernières lumières de la ville

Vers l'aéroport
Vers l'aéroport
Vers l'aéroport

Vers l'aéroport

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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 16:48

Dans les trois semaines passées en Algérie fin février-début mars, quelques jours  à Tamanrasset. La précédente visite date de décembre 1965 !
A l'époque, 5 000 habitants. D'après le dernier recensement en 2008, 80 000 et, sur place aujourd'hui, le nombre est estimé à 150 000 ! C'est dire le changement !!

Pas du Hoggar, bien sûr, même si l'estimation de l'altitude de l'Assekrem n'est pas exactement la même !!!

Quelques images de la ville

Les couleurs de la ville...

Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville

Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville

Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville

Au hasard des rues

Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville

Sur la place

Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville

Maisons de l'artisanat et de la culture

Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville
Algérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-villeAlgérie, 50 ans plus tard (4), Tamanrasset-ville

Bordj de Charles de Foucauld à Tam

Bordj du Marabout, chambre, le trou par où, disait-on serait passé la balle meurtrière !
Bordj du Marabout, chambre, le trou par où, disait-on serait passé la balle meurtrière !
Bordj du Marabout, chambre, le trou par où, disait-on serait passé la balle meurtrière !
Bordj du Marabout, chambre, le trou par où, disait-on serait passé la balle meurtrière !
Bordj du Marabout, chambre, le trou par où, disait-on serait passé la balle meurtrière !

Bordj du Marabout, chambre, le trou par où, disait-on serait passé la balle meurtrière !

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22 avril 2019 1 22 /04 /avril /2019 19:04

Lors de ce court séjour en Algérie, trois jours à Constantine (1-4 mars) où nous avons travaillé en 1964-66...
Constantine, les gorges du Rhumel et ses ponts, ses vieux quartiers et ses constructions nouvelles (pour nous) : le Grand Pont, la mosquée Abd el Kader, l'université brésilienne...

 

Les gorges du Rhumel

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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Constantine sur Rhumel

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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... et ses ponts

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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Vues des ponts

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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La Place du 1er novembre

(Place de la Brèche)
Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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Vers le Palais du Bey

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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Le Palais du Bey

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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Aller au Coudiat

Rue Abane Ramdane et place Amirouche (de la Pyramide)
Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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Le Musée

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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Fruits et légumes

(Marché Saint-Jean)
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Le Grand pont

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......

La Mosquée Abd El Kader

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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A l'université "brésilienne"

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Constantine retrouvée

(Cité des fonctionnaires, Lycée El Houria, Direction départementale de la santé, Centre para-médical)
Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.
Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.
Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.

Cité des fonctionnaires, lycée El Houria (statue de Paul Belmondo), Direction départementale de la santé, Centre paramédical.

Environ de Constantine,

Khroubs avec le tombeau de Massinissa

Algérie, 40 ans plus tard (3), Constantine et Djemila......
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Le Dr Masseboeuf était Directeur départemental de la Santé quand j'étais médecin épidémiologue départemental à Constantine (1964-66).
Une remarquable biographie (Jean Sadek Masseboeuf : itinéraire d'un médecin algérien : La Rochelle 1908-Constantine 1985, Volume 1, 1908-1962) a paru sous la signature de son neveu, Jean-Louis Masseboeuf, aux éditions Bouchène.

J'ai été élève et ensuite collaborateur du Pr Chaulet, chef du service de pneumologie, quand je travaillais au Dispensaire antituberculeux d'El Harrach (1966-72).
 

*************

 

Djemila, la belle romaine

Les ruines de Djemila, désormais entrée payante comme le Tombeau royal ou Tipaza, sont devenus des lieux de promenade pour les familles, les jeunes, les couples, sous une certaine surveillance... A Djemila, seul endroit pendant tout ce séjour de trois semaines où nous avons été contrôlés : passeport, visa, carte grise, permis de conduire....

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L'entrée de Djemila

 

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13 avril 2019 6 13 /04 /avril /2019 10:20

Lors de ce périple de 3 semaines en Algérie, du 15 février au 7 mars, (a) sans lien avec les événements actuels, 4 jours ont été consacrés à l'Oranais, d'où ces quelques photos d'Oran, Tlemcen, Mostaganem, Arzew et leurs environs et Chlef lors du retour sur Alger. Plus de 40 ans après un séjour de 9 ans en Algérie : 9 mois à Mostaganem pour le service militaire (1963-64), 2 ans à Constantine (1964-66) et 6 ans à Alger (1966-72) comme coopérant.

Une première série de photographies d'Alger et ses environs a été publié sur ce blog. Viendront ensuite Constantine et Tamanrasset.

Des photos anciennes, de1964 à 1972 ( Des photos de 1964-72, peuvent être retrouvés sur ce blog  1 Alger, 2 Oranais, 3  Constantine et l'Est algérien, 4 Kabylie, 5 Sites romains, 6 Pétrole, 7 Sud algérien  (b ou NB en fin d'article). 

Oran, aujourd'hui

Quelques image de la ville moderne, avec vue sur le port dont une partie avait été détruite par l'OAS (voir photo 1964-72), Centre de Conventions, rues d'Oran... Immeubles en construction comme on en a vu partout, en construction, terminés et inoccupés, (en voie d'attribution ou non aménagés)...
Affiche et peinture au pochoir... sur l'élection présidentielle

 

Algérie, 40 ans plus tard (2), Oranais...
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La Grande Poste d'Oran
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Algérie, 40 ans plus tard (2), Oranais...
Oran, vieille ville

Visitée avec une jeune guide membre d'une association préoccupée par la sauvegarde du patrimoine : ancienne église Saint Louis, ancienne synagogue, ancienne mosquée... actuellement  ..., plaque commémorative de la présence espagnole, palais du Bey, vues sur Oran et Mers el Kebir depuis Santa Cruz...

Algérie, 40 ans plus tard (2), Oranais...
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Tlemcen

La Mansourah, la Grande Mosquée, le Mechouar, la place, le Musée, le plateau de Lalla Sebti, vues sur Tlemcen...

Algérie, 40 ans plus tard (2), Oranais...
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Environs de Mostaganem

Importantes fresques murales à l'entrée de la ville, comme partout constructions nouvelles, aménagements du bord de mer (Sablettes, Salamandre, non reconnues)..., Stidia (méridien de Greenwich).

Algérie, 40 ans plus tard (2), Oranais...
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Arzew et envions
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Sur la route d'Alger en passant par le Chlef
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6 avril 2019 6 06 /04 /avril /2019 08:21

Invité en Algérie pour un voyage-souvenir de 3 semaines, fin février-début mars, voici quelques images et réflexions. Sans lien direct avec les événements actuels. Ce voyage a lieu, plus de 40 ans après un séjour de 9 ans en Algérie : 9 mois à Mostaganem pour le service militaire (1963-64), 2 ans à Constantine (1964-66) et 6 ans à Alger (1966-72) comme coopérant.

Revenir après une si longue absence, c'est, bien sûr, retrouver des lieux familiers enfouis dans la mémoire mais aussi découvrir un autre pays, par les énormes investissements que les revenus du pétrole ont permis, essentiellement dans l'enseignement (1,7 million d'étudiants), la construction de logements, l'infrastructure.
Choc dès l'arrivée : plongée dans l'inconnu, de l'aéroport à la ville, entrelacs de routes, et encore sans embouteillage à cette heure tardive, là où il n'y avait que la Moutonnière, parcourue, matin et soir, pendant 6 ans d'Alger à El Harrach... Et l'odeur de l'oued... aujourd'hui disparue.

C'est aussi un peuple qui est passé de 11 millions d'habitants au moment de l'Indépendance en 1962 à 15 millions en 1972 et 43 aujourd'hui : une population dont la moitié a moins de 30 ans, dont les deux tiers sont nés depuis 1972 !!!

Quelques photographies de 2019 sont regroupées en 4 articles : d'abord Alger et environs,  puis Oranais, Constantine et enfin Tamanrasset.
Des photos prises de1964 à 1972, peuvent être retrouvées sur ce blog (1).

Alger et environs

Alger-centre : la Grande Poste que tout le monde a vu à la télévision ces derniers jours à l'occasion des manifestations, le début de la rue  Didouche Mourad, bloquée par la police, des jeunes avec la banderole de soutien du MCA, club de foot, (les stades ont été les premiers lieux utilisés par la jeunesse pour attaquer le système), la gare, le port, le début de la rue Larbi Ben Mihdi qui est devenu une place fleurie, la rue Larbi Ben Mihdi, la place de l'émir Abd el Kader, la Cinémathèque, le square Port Saïd.
En haut de la rue Didouche Mourad, l'église du Sacré-cœur, cathédrale, et, pour terminer, quelques fresques en haut de l'avenue Mohamed V où nous habitions.

La square Port Saïd est un grand jardin devant le théâtre d'Alger, avec les bustes  accompagnés d'un texte en arabe, rendant hommage à des artistes : Oum Kalthoum, Mohamed Boudia, Abdelkader Alloula (assassiné par le FIS en 1994), Azzedine Medjoubi (assassiné en 1995)... pendant la décennie noire.
Le square Port-Saïd est, aussi, une bourse informelle où peuvent s'échanger au noir, achat et vente, dinars et devises étrangères, au vu et au su de tout le monde .

L'Algérie, 40 ans ans plus tard, Alger et Tipasa (1)/..
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Par le chemin des Crêtes, vue sur Alger et sur le Jardin d'Essai, toujours aussi fréquenté, en couple ou en famille et par les enfants des écoles. De là, on aperçoit l'imposant Monument du Moudjahid.

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Le Musée national du Moudjahid est situé à proximité de la cité de Diar El Mahçoul, construite en 1954 par le maire libéral d'Alger et l'architecte et urbaniste Fernand Pouillon. Aujourd'hui, la cité est hérissée d'un véritable champ de champignons-antennes paraboliques...

D'après un ami algérien, en Algérie, il y a trois choses qui marchent, les fast-food (le seul pays où il y a un fast-food entre deux fast-food, dit-il, non vérifié sur place), les voitures (avec d'énormes embouteillages en ville et de nombreux accidents de circulation), les antennes paraboliques... la photo en témoigne.

L'Algérie, 40 ans ans plus tard, Alger et Tipasa (1)/..
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El Harrach, pour retrouver le dispensaire antituberculeux fréquenté pendant 6 ans : la salle d'attente est devenue un bureau de l'administration pour deux fonctionnaires très accueillants. L'activité du dispensaire a été transférée à Beaulieu.
Sur la place d'El Harrach, nous sommes allés dans un restaurant. Habituellement, nous allons dans la partie réservée aux familles car nous sommes trois, une femme et deux hommes. Là, surprise, il y avait une dizaine de clientes, pas un homme.

Un saut rapide à Bordj El Kiffan que nous n'avons pas reconnu...

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Alger-ouest : vue de N-D d'Afrique, le bas de la Casbah qui se détériore mais pour laquelle existent des projets de rénovation, Sidi Aberrahmane At-Thaâlibi, saint patron d'Alger, Ketchaoua, mosquée d'origine turque, transformée en église en 1832 et cathédrale, redevenue mosquée en 1962, rénovée par le gouvernement turc..., place des Martyrs, stèle en hommage aux porteurs de valise (2002), visite à Sidi Fredj (architecte Fernand Pouillon), peintures murales et sur les rochers, affiche en tifinagh.

Depuis 2016, l'arabe et le tamazight (berbère) sont langues officielles en Algérie. On peut donc voir, rarement, des affiches officielles en tifinagh, comme celle-ci, ou des intitulés en tifinagh sur certains établissements officiels à côté de l'inscription en arabe et aussi en français.

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Tipaza et le Tombeau royal (autrefois Tombeau de la chrétienne qui serait le tombeau de Cléopâtre, épouse de Juba II)....

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L'Algérie, 40 ans ans plus tard, Alger et Tipasa (1)/..
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L'Algérie, 40 ans ans plus tard, Alger et Tipasa (1)/..
L'Algérie, 40 ans ans plus tard, Alger et Tipasa (1)/..

Remerciements à  Ahmed M. et Rachid H. pour leur accueil et a Anne C. pour son aide dans l'organisation des photos.

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7 novembre 2018 3 07 /11 /novembre /2018 22:35

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Quelques images rapportées d'un périple estival commencé à Besançon et terminé par le Voyage à Nantes et son Pas de côté.

 

 

 

La Coupe du Monde n'était pas loin à Besançon...

Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....

... et dans les environs.

Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....

Avec la chaleur de l'été, les parapluies de Cherbourg sont devenus des ombrelles, aussi bien à Gap...

Petite virée estivale....

... qu'à Carcassonne

Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....

Un petit saut par Marseille...

Petite virée estivale....
Petite virée estivale....

... et Arles...

Petite virée estivale....
Petite virée estivale....

... pour aboutir, toujours, à Collioure, malgré la foule dans les rues...

 

Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....

Bordeaux, entre le vin et le miroir d'eau

Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....

Royan, ses cabanes à carrelet (Saint-Palais-sur-Mer), ses bateaux, son marché, son église...

Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
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Brouage

Petite virée estivale....
Petite virée estivale....

La Rochelle...

Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....

L'Île de Ré, ses ânes en culotte, l'écluse à poisson...

Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
Petite virée estivale....

La  fin du voyage à Nantes et son Pas de côté...

Petite virée estivale....
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Petite virée estivale....
Petite virée estivale....
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10 juillet 2018 2 10 /07 /juillet /2018 07:39
Bologne et "il cinema ritrovato"

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Il cinema ritrovato, le festival de cinéma de Bologne (Italie), est organisé par la Cinémathèque de Bologne (1) depuis 1986. Il présente une sélection d’œuvres quelquefois inconnues ou considérées comme perdues provenant de diverses cinémathèques du monde à un public aussi large que possible.
C'était cette année sa XXXII édition.


La première année, les projections ont eu lieu dans une seule salle de cinéma avec quelques dizaines de spectateurs. Cette année, 4 000 personnes accréditées (2), 120 000 spectateurs, 464 films de 1888 (chronophotographie) à nos jours, de 283 auteurs de 5 continents, regroupés en différents catégories : 1898, cinema anno tre, Marcello come here, ritrovati e restaurati, alla ricerca del colore, John M. Stahl, Luciano Emmer, Marcello Pagliero, Napoli che canta, Cento anni fa 1918, La rinascita del cinema cinese... Certaines séances étaient précédées par un des 43 ciné-tracts de 2,40 mn tournés en mai 1968 en France.

 

Tous ces films ont été projetés au cinéma Lumière (2 salles, Mastroianni et Scorcese), sur la Piazzetta Pasolini, en ville, cinémas Arlecchino et Jolly… (3)

 

 

 

 

Cinéma Lumière

Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"

Et, gratuitement, sur la Piazza Maggiore. tous les soirs du 18 juin au 15 août, devant des milliers de spectateurs : du 18 juin au 1er juillet, dans le cadre, il cinema ritovato, des films restaurés, 14 longs métrages dont deux muets, Rosita de Ernst Lubitsch (1923) accompagné par le Mitteleuropa Orchestra et Settima Cielo de F.Borzage (1927) avec l’Orchestra communale di Bologna et le court métrage Entr’acte de René Clair (1924) avec la musique d’Erik Satie (pianoforte Daniele Furlati).

Du 2 juillet au 15 août, Sotto le stelle del Cinema, 27 films, de La Fiamma del Peccato (Billy Wilder, 1944) à La Gatta Gerentola (2017)...

Bologne et "il cinema ritrovato"

Parallèlement, pendant la durée du festival, des discussions, Lezione di Cinema (2) avec Martin Scorsese, Thierry Frémaux, Margaret von Trotta, Michel Ciment, Kathrin Sermak, Emi de Sica, Marina Vlady…) étaient organisées à l'auditorium et, sur la piazza Maggiore, autour d'un livre sur le cinéma (Libri sotto le stelle).

Michel Ciment, Thierry Fremaux, Gian Luigi Farinelli
Michel Ciment, Thierry Fremaux, Gian Luigi Farinelli

Michel Ciment, Thierry Fremaux, Gian Luigi Farinelli

La Cinémathèque de Bologne a un laboratoire, L'immagine ritrovata, reconnu internationalement pour la conservation et la restauration des films. Cette année, par exemple, des films récemment restaurés à Bologne ont été présentés au Festival de Cannes : Ladri di biciclette (Vittorio de Sica, 1948), Driving Miss Daisy (Bruce Beresford, 1989), The Apartment (Billy Wilder, 1960), La Religieuse (Jacques Rivette, 1965), Cyrano de Bergerac (Jean-Paul Rappenau, 1990), Gli specialisti (Sergio Corbucci, 1969).
Par ailleurs, la cinémathèque possède d'importantes archives de films, notamment du cinéma muet italien, du cinéma soviétique, du cinéma populaire italien, de photographies, la bibliothèque du cinéma Renzo Renzi...

Dans l’énorme programme, il est difficile de faire un choix des films à voir. Se pose alors le dilemme : voir tous les films d’un groupe, un film de chaque groupe, choisir des films jamais vus, connus ou inconnus, ou, au contraire, revoir certains films. Le tout à gérer en fonction des horaires, des salles heureusement peu éloignées les une des autres

Parmi les 24 courts métrages vus, le plus marquant est sans conteste, Les statues meurent aussi d’Alain Renais, Chris. Marker, Ghislain Cliquet (1953, 29mn).
Tandis que pour les longs métrages (42) vus ou revus avec le plus de plaisir, la liste est longue : The Navigator de Buster Keaton (1924, 59mn), Leo, the last de John Boorman (1970, 104mn), Le silence est d'Or (1948, 100mn) et Les deux timides de René Clair (1928, 77mn). Mais aussi, The whole life of mine de Shi Ui (1950, 109mn), Victimas del pecato (1951, 90mn) d’Emilio Fernandez, auteur de Ennamorada (1946) vu à Cannes, Les amants de Brasmort de Marcello Pagliero (1951, 86mn), The Apartment de Billy Wilder (1960, 125mn), Oteg Sergu de Jakov Protazanov (1917/18, 198mn), The woman under oath (1919, 67mn) et Imitation of life (1934, 111mn) de John N. Stahl, Dainah, la métisse de Jean Gremillon (1932, 55mn), The winter of three hairs de Zhao Ping (1949, 90mn), ll bigamo (1955, 100mn) et Le ragazze di piazza di Spagna de Luciano Emmer (1952, 97mn), Divorzio all'italiana de Pietro Germi (1961, 105mn), What ever happended to Baby Jane de Robert Aldrich (1962, 132mn), Marnie d'Alfred Hitchcock (1964, 130mn), L'héritage de la chouette de Chris. Marker (1989, 78mn), Il Bell'Antonio de Marco Bolognini (1954, 105mn), Alien de Ridley Scott (1979, 116m)…

Bologne, ce n’est pas seulement la ville du Festival, il cinema ritrovato, qui se déroule dans le centre historique, c’est aussi une des plus grandes villes d’Italie, une importante ville universitaire, historiquement, la plus vieille d’Europe.

 

 


 

Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"

Quelques peintures de rue, souvent sur des rideaux de magasins

Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"
Bologne et "il cinema ritrovato"

1 - Président depuis 2014, Marco Bellocchio, directeur, Gian Luca Farinelli

2 - Michel Ciment sur le cinéma italien et Thierry Fremaux sur l’avenir du cinéma

3 - Pour voir tous les films, il faut être accredito ce qui permet d’accéder à tous les cinémas et aux places réservées sur la Piazza Maggiore, au prix de 100 euros, taux plein, et 50 euros pour le taux réduit. A défaut , les billets sont vendus à l’entrée des salles à 5 euros la séance.

Sites : www.ilcinemaritrovato.it/www.cinetecadibologna.it

Adresse : ilcinemaritrovato@cineteca.bologna.it

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16 juin 2018 6 16 /06 /juin /2018 09:56
Courte balade à Nantes et environs

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Nouveau et court séjour à Nantes, occasion de se promener, une fois de plus, dans la ville, de faire quelques photos en touriste. Et un petit saut à Guérande et au Croisic.

Nantes est une importante ville touristique, la septième de France avec deux millions de visiteurs par an dont certains attirés par de multiples manifestations culturelles.
En cette mi-juin, aucune manifestation particulière et l’édition annuelle du Voyage à Nantes (30 juin - 26 août) est en préparation. Le fil vert du voyage n'est donc pas encore fonctionnel, il permet cependant de parcourir la ville et de la (re) découvrir, du Jardin des plantes et du Château des Ducs de Bretagne, sans lequel Nantes ne serait pas Nantes, à la pointe de l’île de Nantes en passant par les places Greslin, Royale, le Passage Pommeraye... 

Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs

Au Jardin des  plantes

Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs

Le Passage Pommeraye

(avec une chorale)

Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs

Deux périodes importantes pour la prospérité de la ville que les édiles de Nantes ont su assumer et dépasser pour aller vers l’avenir : l’esclavage, les chantiers navals.

 

Après l’esclavage

 

La Révocation de l’Édit de Nantes, en 1685, est plus connue que le Code noir, promulgué la même année. Celui-ci a permis à Nantes de devenir le port le plus important du commerce triangulaire, source de sa prospérité.
Au cours du
18ème siècle, Nantes a affrété des navires qui ont transporté 450 000 Noirs, soit 42 % de la traite française. Nantes sera la dernière place forte de la traite, en 1831, malgré les interdictions successives.


Du 17ème au 19ème siècle, la traite des Noirs occupe une place importante dans le commerce nantais et contribue à enrichir la ville et certains armateurs. A l'origine de constructions prestigieuses de la ville comme le théâtre, la bourse, des hôtels particuliers…

Tout ceci n'est ni oublié, ni caché. Une exposition permanente du Musée d’histoire de Nantes, situé au Château, explique le passé négrier, partie de l’histoire de la ville et de son identité. Et la place de Nantes dans l’Europe négrière et l’histoire de l’esclavage.


De façon plus immédiate, le promeneur peut prendre conscience de ce passé grâce au Mémorial de l’abolition de l’esclavage inauguré en 2012 sur les bords de la Loire. Qui, sans repentance, veut garder la mémoire du passé et mettre en garde pour l’avenir.

Entre pont Anne-de-Bretagne et passerelle Victor-Schœlcher, 2000 pavés-plaques de verre : 1710 avec le nom des navires et les dates de départ des expéditions négrières nantaises, 290 indiquent les comptoirs négriers, les ports d’escale et de vente en Afrique, aux Antilles, aux Amériques et en Océan Indien.
Au rythme de ses pas, le visiteur prend conscience de l’ampleur de cette tragédie.


 

Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs

Le Mémorial, lui-même, rappelle la longue histoire de l’esclavage et de la lutte pour son abolition, illustrée par des textes de ceux, d’origines diverses, qui ont lutté ou luttent contre l‘esclavage et ses séquelles dans le monde :

 

Un commerce d’hommes ! Grands Dieux ! Et la nature ne frémit pas ? S’ils sont des animaux, ne le sommes nous pas comme eux ? Olympe de Gouges (1788).

 

Frères et amis. Je suis Toussaint Louverture… J’ai entrepris la vengeance de ma race. Je veux que la liberté et l’égalité règnent à Saint-Domingue. Je travaille à la faire exister.
Unissez-vous, frères, et combattez avec moi pour la même cause. Déracinez avec moi l’arbre de l’esclavage.
Toussaint Louverture (1793).

 

La Convention nationale déclare que l’esclavage des Nègres dans toutes les Colonies est aboli… Décret du 16 pluviose an II (1794).

 

Si, comme le disent les colons, on ne peut cultiver les Antilles qu’avec des esclaves, il faut renoncer aux Antilles… Une chose criminelle ne doit pas être nécessaire.Victor Schoelcher (1842).

 

L’esclavage sera entièrement aboli dans toutes les colonies et possessions françaises, deux mois après la promulgation du présent décret dans chacune d’elles. Gouvernement provisoire de la République française. Décret d’abolition de l’esclavage, article 1er, 27 avril 1848.

 

Je rêve qu’un jour, sur les rouges collines de Georgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d’esclaves pourront s’asseoir ensemble à la table de la fraternité. Martin Luther King (28 août 1963).

 

Je ne suis pas vraiment libre si je prive quelqu’un d’autre de sa liberté, aussi certainement que je ne suis pas libre si l’on me prive de ma liberté. L’opprimé et l’oppresseur sont tous deux dépossédés de leur humanité. Nelson Mandela, (1994).


 

Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs

Après les chantiers navals

 

La ligne verte ou la curiosité ne peuvent que mener à l’Île de Nantes.

À la fin du 18ème siècle, Nantes est le premier port de commerce français, notamment du fait du commerce triangulaire qui assure sa prospérité et le développement de la construction navale.
Les chantiers Dubigeon, fondés en 1760, vont perdurer, sous différents noms, jusqu’en 1987, date du lancement du Bougainville, construisant, successivement ou simultanément, différents types de navires, des voiliers jusqu’aux sous-marins.


 

La municipalité élue en 1989, dirigée par Jean-Marc Ayrault, hérite de vastes friches industrielles à aménager. Elle conserve l’énorme grue, le Titan jaune, symbole des anciens chantiers et se lance dans une entreprise d’urbanisation de l’Île de Nantes avec notamment Palais de justice, école d'architecture, pôle des arts graphiques, espace consacré aux musiques contemporaines…

Et les Machines de l’Île dans les anciens chantiers navals tandis qu’à la pointe de l'île, restaurants, bars de nuits, discothèques sont logés dans le Hangar à bananes, longé par les Anneaux de Buren.
Grandes attractions : le Grand Éléphant, 12 mètres, peut transporter une cinquantaine de passagers et arroser quelques badauds, le Carrousel des Mondes Marins, manège de 25 mètres de haut. En attendant l’Arbre aux Hérons (42 mètres de haut, 50 mètres de diamètre), annoncé pour 2022, où les visiteurs pourront aller de branche en branche dans des jardins suspendus ou être embarqués dans des nacelles sous les ailes des hérons...
Dans la
Galerie des Machines, on peut voir des maquettes comme celle d’une chenille géante qu'un enfant peut faire avancer, les hérons avec leur nacelle dans lesquelles des spectateurs sont invités à monter…



 

Les machines

Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
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Courte balade à Nantes et environs
Courte balade à Nantes et environs
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La Tour Eiffel, il y a plus de 100 ans, était le symbole de la puissance industrielle. Cette conversion des Chantiers navals en constructeur de machines pour l’industrie du divertissement, avec cependant un faible nombre de postes de travail, est-elle un éléphant blanc, le chant du cygne de l’ère industrielle ? Ou, la robotique aidant, une habile évolution ?
Pour le moment, Nantes a fabriqué et envoyé en Chine un dragon, disposé quelques unes de ses créations à la Roche-sur-Yon, se propose d’exposer, à la rentrée prochaine, quelques unes de ses créations sur l’ancien aérodrome de Montaudran à Toulouse...

Alors que Nantes a obtenu le Prix de la Capitale verte de l’Europe pour 2013, après avoir été présentée en 2004 comme la ville la plus agréable d'Europe par le magazine Time, pour ses espaces verts et les nombreux cours d’eau traversant la ville.

Quelques images de la ville et de peintures murales

Courte balade à Nantes et environs
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Courte balade à Nantes et environs
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L'Île de Nantes : bord de la Loire

Courte balade à Nantes et environs
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Après Nantes

Quelques images de Guérande

Courte balade à Nantes et environs
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et du Croisic

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